Au revoir Antibes

Je me dépêche de poster cet article, car j'ai pris du retard (nous sommes arrivés à Singapour dimanche soir).

Comme annoncé dans notre précédente édition, Grospiron a fait les cartons ! 105 cartons exactement. WAHH, j'ai complètement retrouvé ma voix :-) 

Puis toutes nos petites affaires ont été chargées à bord du container, soit 3 tonnes de meubles, vêtements, vaisselle, vélos, vêtements hiver, jouets, livres, manteaux, casques, pulls, (cherchez l'erreur !). Bref, Grospiron a tout pris, même ce dont on n'aura pas forcément besoin. Tout, sauf : 

• les médicaments (et moi qui venait de refaire mon stock), 
• Les produits d'alimentation (bravo MS, c'était une bonne idée de prévoir un carton de Nutella, Pesto, pâtes, saucisson, etc.)
• et les produits d'entretien... mais là, il s'agit d'une question de sécurité. 

Nous retrouverons notre container dans 6 semaines, en espérant que nos 10 bouteilles de vin soient toujours consommables malgré les 45° qu'il ne manquera pas de faire à l'intérieur du container. 

Soirée départ chez Sandrine (Biot)

Les Deschiens, le retour  ?

Après l'inévitable fête de départ, pour les grands puis pour les "petites", nous quittons Antibes le cœur gros, remplis de la douceur de vivre de cette magnifique région et de toutes les belles rencontres que ce séjour de 3 ans et demi nous a permis de vivre.

Un saut à la gare routière (merci Martine), un petit tour en bus (merci la Région côte d'Azur) et nous voilà à l'aéroport, à peine chargés :-) Ya plus qu'à prier pour qu'Easyjet accepte bien nos bagages, ceux en soute comme ceux en cabine, une guitare, quelques doudous et bien sûr les fameuses provisions de médicaments, Nutella, Pesto et saucisson refusées par Grospiron.

Dans le bus avec la famille Nounours 

Au moment du décollage, Sienna a pleuré en appelant Chantal, son assistante de la grande section a l'école maternelle du Ponteil. Heureusement la magie a repris le dessus et elle s'est écriée "c'est la première fois que j'ai la tête dans les nuages". La veille, Emmy avait réclamé Carole, son assistante, Au moment du coucher, elle n'a pas quitté Lola Souriceau, la peluche offerte par Carole le dernier 
jour.

A l'aéroport, prenez un palmito, Mélanie !